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Mr Gay Syria (Un visa pour la liberté - Mr Gay Syria) d’Ayşe Toprak (2017)
Hussein est syrien, réfugié en Turquie. Il a une fille qui est restée en Syrie où il est menacé de mort.
Hussein est homosexuel et on lui propose de participer à l’élection de « Mr Gay Syria » pour faire connaître la condition des personnes LGBT chez Bachar Al Assad.
Mais le concours a lieu à Malte et, pour pouvoir y aller, il lui faut un visa et pour avoir un visa, il lui faut obtenir le statut de réfugié.
Il y a toujours (ça ne date pas d’hier !) deux façons de traiter de l’homosexualité dans un documentaire, même lorsque le fond « politique » est très important.
Les deux « facettes » sont les « fanfreluches » et la « politique ».
Ici, le fond du propos, c’est l’obtention de ce visa, complètement tributaire du statut de réfugié qu’Hussain essaie désespérément d’obtenir
Malheureusement, les fanfreluches viennent tout parasiter. En plus, c’est mal fichu et mal monté.
Une fois de plus, on ne fait pas du bon cinéma avec de bons sentiments.
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