dimanche 30 avril 2023

Synonymes

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Synonymes (2019) de Nadav Lapid

Yoav, citoyen Israélien, arrive à Paris. Il s’installe dans un grand appartement vide (?) à Saint-Germain-des-Prés.

Mais alors qu’il prend une douche, quelqu’un lui vole toutes ses affaires. Il trouve refuge chez les voisins de l’étage au-dessus où vivent Émile et Caroline.

Émile lui donne de l’argent et des vêtements ce qui lui permet de gagner un autre appartement où il habite (?), un appartement beaucoup plus modeste sur la rive droite.

Yoav a quitté Israël car il ne supporte plus son pays natal et il refuse désormais de parler hébreu.

La carte au cinéma est un peu comme « la plaque des taxis », on peut se la transmettre de père en fils. Ici, le papa est scénariste et la maman monteuse du film.

Il semble que les règles concernant « la carte » soient les mêmes en Israël qu’en France : papa-maman dans le cinéma, c’est la carte assurée !

Nadav Lapid est le réalisateur de trois longs métrages dont deux bouses : Le Policier en 2011 et ce film-ci. Je n’ai pas vu L’Institutrice, mais je l’ai enregistré ; je devrais le regarder, ça dégagerait très probablement de la place sur mon disque dur !

Pour en revenir à la bouse dont il est question ici, j’aurais dû me méfier. D’abord, la France est coproductrice, souvent synonyme (eh, oui !) de film chiant, verbeux, souvent pédant. Ensuite, il a obtenu l’Ours d’Or de Berlin.

Visiblement les jolies fesses (très rebondies) de Tom Mercier semblent avoir beaucoup inspiré Nadav Lapid.

Mais on ne donne pas tant de texte à dire à un cul ! A moins d’être un pétomane de grand talent… Et de talent, Tom Mercier ne semble pas en avoir beaucoup à part celui, bien sûr, de montrer le petit cul en question !

D’ailleurs, la carte n’a pas bien fonctionné ici, car si une partie de la critique s’est pâmée devant ce déchet (je parle du film), il semble que les avis demeurent partagés.

C’est insupportable, d’une bêtise prétentieuse effroyable et complétement invraisemblable : le débile israélien et « israélophobe » a quitté son pays qu’il ne supporte plus et ne veut plus parler hébreu. Mais il est bien obligé de le faire lorsqu’il trouve du travail… au service sécurité de l’ambassade d’Israël ! Puis, il se lie d’amitié avec un Juif extrémiste et semble participer à des opérations dont on ne sait si elles sont organisées par le Mossad  ou par quelque émanation de feue l’Irgoun (organisation terroriste de l’époque de la création d’Israël à laquelle le grand-père du héros complètement détraqué, semble avoir appartenu).

Bref, ce n’est ni fait, à ni à faire. Le pauvre Lapid a tourné ce truc avec ses pieds ou, plus vraisemblablement… avec ses fesses !

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