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Ōdishon (オーディション) (Audition) de Takachi Miike (1999)
« Shigeharu Aoyama, un producteur de films, veuf depuis sept ans, accepte sur les conseils de son collègue Yoshikawa, d’organiser une audition pour un film imaginaire afin de trouver une nouvelle épouse.
Il déniche la perle rare en la personne d’Asami Yamasaki, une jeune femme douce et intelligente. Il en tombe aussitôt amoureux et, sans lui révéler son subterfuge, commence à entretenir une relation avec elle.
Lors d’une escapade au bord de l’océan, Asami disparaît.
L’enquête d’Aoyama révèle un angoissant secret : la disparition et le meurtre de plusieurs personnes. Alors qu’il commence à comprendre la véritable personnalité d’Asami, celle-ci réapparaît et tout bascule dans le cauchemar. » (Allo-Ciné)
En général, lorsque je reprends « en copier-coller » le pitch d’Allo-Ciné, c’est que j’ai « mal vu » le film, entendez que je me suis beaucoup « absenté », entendez… que j’ai dormi.
Ce film-ci est une exception : je ne me souviens que de mon exaspération et de l’envie irrépressible de partir, envie à laquelle j’ai pourtant réussi à résister, je me demande bien pourquoi !
C’est le plus mauvais film que j’ai vu cette année, en tous cas, au jour d’aujourd’hui, car le pire est toujours possible et il reste 8 mois jusqu’à la fin de l’année[1].
Pourquoi aller chercher des nanars de ce format après plus de vingt ans de poussière accumulée et tellement justifiée !?
Les « films de genre » (expression totalement stupide à laquelle je ne me ferai jamais) écrits sous acide sont probablement toxiques pour ceux qui les font, mais le sont à coup sûr, pour ceux qui les voient, ou, plus exactement, qui les subissent.
Cependant, quand on lit les critiques, les bras vous en tombent. En tout cas, ils M’en sont tombés.
C’est avec ce genre de considération que je me dit que, décidément, je ne dois plus beaucoup aimer le cinéma.
[1] Il s’agit de l’année 2022. En réalité, il y aura trois autres films qui seront notés avec la « bombe fatale » et un seul atteindra le degré de nullité de cette bouse.
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