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Warlock (1989) de Steve Miner
En 1691, en Nouvelle Angleterre, Warlock, convaincu de sorcellerie, va être exécuté par pendaison, puis brûlé. Mais une tornade s’élève et semble l’emporter.
La même tornade s’abat sur la côte ouest des Etats-Unis, près de 300 ans plus tard, en 1988 et dépose Warlock chez un jeune collectionneur homosexuel d’antiquités qui le recueille comme il avait recueilli Kassandra, une jeune serveuse.
Le lendemain matin, Warlock tue son hôte après lui avoir arraché la langue. Puis il se rend chez une médium. Par la voix de la femme, Satan lui ordonne de retrouver sa bible, ce qui lui permettra de réunir les trois éléments diaboliques (?) qui assureront son pouvoir sur terre. En récompense, Warlock sera l’Antéchrist.
Radfun, celui qui avait capturé Warlock au 17ème siècle, arrive à son tour au 20ème.
C’est une histoire de sorciers où on nous explique que les croyances du 17ème siècle n’étaient pas des sornettes. C’est assez bien fait, plutôt amusant et ça se laisse regarder.
Petite parenthèse : le deuxième assistant-réalisateur se nomme Frank Capra III. Un rapport avec l’autre ?
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