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Alice n’a pas envie d’écouter sa leçon d’histoire, elle préfère rêvasser dans l’herbe avec son petit chat. C’est là qu’elle voit passer un lapin en jaquette qui sort une montre en disant qu’il est pressé.
Alice le suit dans son terrier et tombe dans un trou immense qui semble ne jamais finir. A l’arrivée, elle voit le lapin s’enfuir par une toute petite porte. Alice veut le suivre, mais la poignée de la porte lui fait remarquer qu’elle est trop grande et qu’elle ne passera pas. Alice boit une petite fiole et se retrouve toute petite.
Une complète réussite ! La rencontre de l’univers de Lewis Carroll et de celui de Disney (car il y en avait un à l’époque) nous offre ce très joli dessin animé qui, sans avoir la profondeur de Carroll, ni son humour corrosif, s’en rapproche beaucoup et nous donne à penser que seul le dessin animé pouvait rendre hommage au grand romancier et humoriste britannique.
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