Alien : Covenant

 

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Alien : Covenant (2017) de Ridley Scott

En 2104 (soit huit ans après Prometheus), un nouveau vaisseau de la société Weyland est envoyé vers Origae-6 et pour la coloniser.

Le Covenant, c’est son nom, transporte 2000 colons en hibernation et 1140 embryons humains. Mais une éruption stellaire provoque de gros problèmes sur le vaisseau. Plusieurs personnes sont tuées dont le capitaine du vaisseau.

Pendant les réparations, l’équipage reçoit un message provenant d’une planète plus proche qu’Origae-6.

Bien que tout le monde ne soit pas d’accord, le capitaine Oram décide d’atterrir sur cette planète.

On ne sait plus du tout où on est !

Dans Prometheus qui se passe dix ans avant ce film-ci, Weyland est censé être centenaire.

Ici, le même Weyland, toujours interprété par Guy Pearce, mais cette fois sans être vieilli, se trouve donc beaucoup plus jeune, donc dans une époque très antérieur à Prometheus qui est pourtant la mission qu’il est en train de préparer, à moins que ce ne soit les scénaristes et Ridley Scott qui se soient à peu pris les pieds dans le tapis (… ou bien, c’est moi ! ...).

Le réalisateur a créé en 1976 un véritable mythe. Il avait dit qu’il reviendrait pour réaliser un DERNIER film qui clôturerait la saga. Or, après Prometheus, nous en sommes au deuxième film (et visiblement pas le dernier) du « retour » de Ridley Scott.

Et il faut bien dire qu’après ce septième film, même s’il est moins mauvais que le précédent, il serait peut-être temps d’arrêter les frais.