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L’Uccello alle piume di cristallo (L’Oiseau aux plumage de cristal)
de Dario Argento (1970)
Sam Dalmas, écrivain américain en vacances à Rome, va retourner aux Etats-Unis lorsqu’il est témoin d’un meurtre dans une galerie d’art. La victime est une jeune femme, l’épouse du directeur de la galerie. Et il semble que l’assassin soit un tueur en série, spécialisé dans le meurtre sauvage de jeunes femmes.
L’inspecteur Morosini demande à Sam d’ajourner son retour aux Etats-Unis. Sam est bien obligé d’obtempérer et il décide de mener sa propre enquête.
Une arme blanche entre les mains d’un psychopathe, tel est le thème récurrent des grand-guignolades de Dario Argento. Cela peut être très efficace et même donner une œuvre de qualité comme Profondo rosso.
Cela peut également être extrêmement lassant et exhaler des relents d’un infantilisme comparable à l’infantilisme des assassins dont, tout au long de sa carrière, Argento nous a complaisamment brossé le portrait.
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