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The Translator (Le Traducteur) de Rana Kazkaz et Anas Khalaf (2020)
Pendant les Jeux Olympiques de Sydney en 2000, Sami est le traducteur de l’équipe syrienne.
Il fait un lapsus concernant la mort récente du dirigeant syrien Hafez el-Assad et il est contraint de demander l’asile politique à l’Australie.
Onze ans plus tard, le frère de Sami est arrêté pendant les évènements de la révolution syrienne.
Malgré le danger, Sami décide de retourner dans son pays pour le libérer.
Quatre jours après l’avoir vu, je ne me souvenais plus de rien. Bien entendu, un mois et demi plus tard, c’est pire !
J’ai le vague souvenir d’un scénario répétitif[1] et plein de trous ; on dirait un film auquel il manquerait des séquences (dont le fameux lapsus qui est la cause de l’exil du héros).
En revanche, on peut reconnaître au film de bien montrer l’enfer de Damas et la terreur des el-Assad père et fils.
Mais on sent bien que le film est à la peine, une espèce de thriller sans rythme.
Et puis on découvre qu’il y a « de la France » dans la production, ce qui explique sans doute le côté profondément ennuyeux !
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