dimanche 5 décembre 2021

Storia di vacanze

 

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Favolacce (Storia di vacanze) de Damiano et Fabio d’Innocenzo

« La chaleur de l'été annonce les vacances prochaines pour les familles de cette paisible banlieue pavillonnaire des environs de Rome. Des familles joyeuses, qui parviennent à créer l'illusion de vraies vacances malgré leurs faibles moyens. Des familles normales. Enfin presque... » (Pitch d’Allo Ciné)

Très mauvais signe le « Pitch d’Allo Ciné » ! Ça veut juste dire, ici, que je n’ai aucune envie de m’étendre sur cette bouse !

Quand on voit ces familles qui n’ont pas de cerveau, mais qui ont (hélas !) des génitoires, on se dit (et je l’ai toujours pensé) qu’il faudrait un permis pour faire des enfants.

Et ce qu’il y a de plus désespérant, c’est précisément que ces authentiques Affreux, sales et méchants (et croyez bien qu’on ne peut en aucun cas évoquer le très grand film de Scola à propos de cet étron sur pelloche)se reproduisent : ils ne pensent même qu’à ça.

Mais que ce soient les parents ou les enfants, il n’y en a pas un pour relever l’autre, si ce n’est, peut-être les deux enfants (fils et fille de cons) qui se suicident.

C’est le huitième film le plus mal noté de l’année par moi-même[1] mais…

Je me demande si nous ne sommes pas face au plus mauvais film de l’année qui a quand même obtenu « l’Ours d’Argent du meilleur scénario (sic !) » au Berlinales 2020 (???).

Alors oui, il faudrait peut-être un permis pour faire des enfants.

Et puis, après tout, il faudrait aussi un permis pour faire des films !

(En plus du reste, soulignons, une fois de plus, un « titre français » à la con !)



[1] Il y en a eu un neuvième depuis.

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