Beau fixe

 

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Beau fixe (1992) de Christian Vincent

Valérie, Armelle, Frédérique et Carine vont passer quelques jours dans la maison de la grand-mère de Valérie, au bord de la mer, pour réviser l’examen d’entrée en troisième année de médecine qu’elles doivent passer quinze jours plus tard.

Les quatre filles s’entendent bien, mais la cohabitation s’avère difficile. Elles n’ont ni le même rythme, ni le même état d’esprit, ni les mêmes motivations.

Valérie est assez sereine, toujours prête à aider les autres ; Armelle est angoissée à l’idée de rater ses examens et elle travaille comme une folle ; Frédéric est égoïste, peu sérieuse ; Carine semble être la plus objective des quatre.

Mais les filles feront front commun pour jeter dehors le cousin de Valérie, Francis, arrivé à l’improviste.

En gros, il s’agît donc de quatre pisseuses qui font leur possible pour jeter un importun couillon dehors. Ni elles, ni lui ne sont particulièrement sympathiques, ni attachants.

Et on ne retrouve pas dans l’histoire sans intérêt de ces personnes inintéressantes le charme, au demeurant largement surévalué, de La Discrète, le premier film de Christian Vincent.