Les Beaux jours (2012) de Marion Vernoux
Caroline était dentiste, mais elle vient de prendre sa retraite.
Ses filles lui offrent un stage de son choix aux « Beaux jours », une sorte de « Maison des Vieux et de la Culture » des environs de Dunkerque où habitent Caroline et son mari Philippe.
Caroline ne sait pas vraiment quel « stage » suivre, mais comme elle a des problèmes de connection Internet, elle opte pour l’informatique. Elle fait ainsi la connaissance de son formateur Julien.
Dans la Manon de Massenet, Des Grieux père dit de celle dont il ne veut pas pour bru : « Elle est charmante, et je comprends qu’on l’aime ! » qu’on pourrait traduire méchamment en « C’est une gourde ! »
Quand on dit d’un film qu’il est charmant, c’est un peu le même problème. On est bien, on ne s’ennuie pas (trop), on sort de la salle, on a tout oublié.
Fanny Ardant est troublante, Laurent Lafitte est passable et Patrick Chesnais est formidable.
Mais on regrette vraiment la Marion Vernoux de Personne ne m’aime et son scénario exceptionnel.
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