vendredi 26 février 2021

Vincent n’a pas d’écailles

 

*

Vincent n’a pas d’écailles (2014) de Thomas Salvador

Vincent s’installe dans le sud de la France, une région riche en rivières, en lacs et autres cours d’eau. Et pour cause !

Car Vincent a un don… bizarre. Il se trouve doté d’une force herculéenne et d’une souplesse hors du commun lorsqu’il est dans l’eau ou simplement mouillé.

Un jour, il rencontre Lucie qui l’a vu nager et qui a été très surprise par sa vitesse.

Sous le sceau du secret, il lui explique ce qu’il est.

Parallèlement à sa vie avec Lucie, Vincent travaille dans une petite entreprise de bâtiment qui retape de vieilles maisons.

Je vais faire court.

Et précisément, c’est ce que Thomas Salvador aurait dû faire. D’un sujet gadget qui aurait pu faire un court métrage rigolo, il nous fait un long métrage interminable (bien qu’il ne dure que 88 minutes).

Tout ça est étiré à l’excès et c’est bien dommage, car au niveau de la mise en scène, il y a quelques idées et l’hommage rendu aux slapsticks est assez réussi.

L’histoire d’amour, en revanche, fait un peu surajoutée et n’a pas beaucoup d’intérêt. Mais peut-être est-elle là pour faire… du métrage, précisément !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire