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Arlington Road (1999) de Mark Pellington
Sur Arlington Road, Michael Foraday rencontre un gamin dont le bras gauche semble gravement brûlé. Il emmène le garçon aux urgences. Il fait la connaissance de ses parents, les Lang.
Mike Faraday est professeur d’histoire à l’université spécialisé dans l’histoire du terrorisme. Il est veuf de Théa qui était agent du F.B.I. et père d’un petit garçon de dix ans, Grant.
Mike et Brooke, sa compagne depuis la mort de sa femme, sympathisent avec les Lang.
Mais certains détails bizarres font que Mike se met à douter de l’identité d’Oliver Lang. Il mène son enquête.
Encore un film sur la paranoïa américaine (complot contre la démocratie, la liberté, Dieu, le F.B.I., « America ! America ! »). Et, comme d’habitude, devinez quoi ? Le paranoïaque a raison.
Le scénario, qui semble avoir été écrit par un enfant de trois ans qui se croirait très intelligent, aurait eu besoin non d’un seul, mais d’une armée de « script doctors ». La réalisation tapageuse et l’interprétation hystérique du quelconque Jeff Bridges n’arrangent rien. Tim Robbins, lui, a beaucoup de mal à tirer son épingle du jeu.
De la pure américonnerie !
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