Sous le ciel d’Alice

 

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Sous le ciel d’Alice (2020) de Chloé Mazlo

Alice, une jeune Suisse, quitte son pays natal pour le Liban. Elle y fait la connaissance de Joseph, un astrophysicien, qui rêve d’envoyer le premier Libanais dans l’espace.

 

Vingt ans plus tard, dans les années 70, la guerre civile éclate au Liban et la vie des Libanais devient très difficile.

Fallait-il vraiment que le Liban, pays martyr, subisse les outrages d’un mauvais film, cette œuvrette stupide et prétentieuse ?

J’étais allé voir ce truc en raison de la présence au générique de Wajdi Mouawad qui, soyons clair, ne fait pas d’étincelle comme comédien.

Tout est exprimé en symbole lourdingue dans un « univers guimauve [et une] version d’opérette de la guerre du Liban », comme le souligne Sandra Onana dans Libération.

La distanciation, qui se voudrait sans doute brechtienne, n’est que grotesque.

C’est bête et mal fichu, ça ne ressemble à rien ! A fuir !