Great Freedom

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Größe Freheit (Great Freedom) de Sebastien Meise (2021)

Hans Hoffmann a été interné dans un camp de concentration par les nazis au nom du « paragraphe 175 » du code pénal allemand (très antérieur aux lois nazis).

Car Hans Hoffmann est homosexuel et le paragraphe 175 interdit les rapports sexuels entre personnes du même sexe.

Hoffmann est libéré à la chute du nazisme, mais il est réincarcéré, peu après, au nom du même paragraphe 175.

Tout d’abord, ce « titre français », complètement con, mérite peut-être une petite explication de texte : Größe Freheit, le titre original, fait référence à la première « boîte gay » qui apparaît dans le film après « l’assouplissement » du paragraphe 175.

Le film balance sans arrêt entre la revendication politique et le drame sentimental, très léger pour la première, et avec dans le deuxième,  quelques incursions timides dans des scènes de cul.

De plus, la présence omniprésente de Franz Rogowski et sa « phonation spéciale » m’insupporte terriblement.

Je me suis donc fortement ennuyé.

Les martyres des « 175 » méritait peut-être autre chose que ce téléfilm banal, répétitif et ennuyeux.