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Rien à foutre (2021) de Julie Lecoustre
Cassandre a 26 ans. Elle est hôtesse de l’air dans une compagnie low-cost.
En escale, elle fait la fête avec ses « collègues ». et entre deux vols, elle retourne dans sa famille et le soir va se saouler avec sa sœur.
Le rêve de sa vie : devenir hôtesse chez « Emirates Airlines ».
Passionnant non ?... Pas vraiment… Bon !
Le titre de ce film est l’exact reflet de ce qu’il inspire à ceux qui ont le (mal)heur de le voir : on peut d’ailleurs se demander le pourquoi de ce titre étrange.
On peut aussi ne rien se demander du tout et ne pas perdre de temps à observer cette bouse à la loupe.
Certaines fois, il arrive qu’on se demande la raison d’être de certains films ; ici, on ne prend même pas la peine de se poser la question, mais on soupçonne qu’il n’y en a aucune.
Quant à la « fabuleuse Adèle Exarchopoulos » (nommée aux César de la meilleure actrice 2022, tout de même !)[1], elle fait le minimum syndical et semble s’emmerder à peu près autant que nous !
La compagnie aérienne dont il est question s’appelle « Wings » : ici, les ailes sont en plomb !
Et ils se sont mis à deux pour réaliser ça !
Décidément, ce misérable navet, on n’en a… (voir le titre) !
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