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L’Abominable homme des
douanes (1962)
de Marc Allégret
Le
vieux caïd Grégor n’admet pas qu’Arnakos essaie de le détrôner. Ayant appris
qu’Arnakos va se payer les services d’un célèbre tueur à gages muet et
américain, Grégor s’arrange pour faire intercepter le tueur par la police et la
douane.
Les hommes d’Arnakos, à la
suite d’un malentendu, prennent Campo Santos, un douanier myope et maladroit, pour
le tueur.
On se met
devant ça en se disant qu’on va avoir droit à un bon vieux nanar de dessous les
fagots, mené tambour battant par de vieux briscards comme Darry Cowl, Francis
Blanche, Jacques Hilling, Pierre Brasseur et Marcel Dalio. Pour la présence
féminine, on a droit à une charmante Danoise, Taïna Beryll, qui a le talent
d’un sabot. Très bien !
Mais il faut
vite déchanter : c’est écrit, filmé et dirigé à la fainéante. Quant à
l’humour, ce n’est drôle ni au premier, ni au deuxième, ni au quatre-vingt-treizième
degré.
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