mardi 15 septembre 2020

White Shadow


White Shadow | Film, Affiche film, Cinéma
White Shadow (2013) de Noah Deshe
De tout temps, les albinos ont été persécutés. Et comme l’albinisme est particulièrement repérable au milieu des populations « colorés », il est plus visible en Afrique où le vitiligo est aussi plus répandu.
C’est le cas en Tanzanie où on utilise les membres et les os des albinos pour des « potions magiques » : les croyances locales attribuent aux organes des albinos des pouvoirs guérisseurs.
Allias, qui est pourchassé, échappe à ses poursuivants, mais assiste au meurtre de son père.
Sa mère l’envoie en ville, chez son oncle Kosmos.
Encore une fois, notre sacro-sainte critique parigote encense ce brouet sur pellicule, nous abreuve « d’ensorcellement », « d’œuvre touffue, ardue… » (je dirais « merdique »), « un film dont personne ne sort indemne », « l’urgence de son propos » (prose intello-bobo qui ne veut rigoureusement rien dire) et autre jugements hystériques à l’emporte-pièce.
Un seul critique parle, mais pour vanter (sic !) le film « d’images parkinsoniennes » alors qu’un autre critique, mais lui, franchement négatif, parle de « l’esbroufe de l’auteur » et « d’effets de manche ».
Les interprètes (majoritairement non professionnels) emportent l’adhésion avec une révélation, Hamisi Bazili dans le rôle d’Atlas.
Pour le reste, c’est du cinéma hystérique, à l’esbroufe, presqu’aussi insupportables que les très oubliées Nuits fauves.
Et puis, il y en a ras le bol de la caméra à l’épaule qui donne envie de gerber !!!

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