Aline

 

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Aline (2020) de Valérie Lemercier

Aline Dieu est la quatorzième (et dernière) enfant d’une modeste famille québécoise.

Toute la famille aime la musique, mais Aline montre très tôt une forte prédisposition pour le chant.

Elle rencontre Guy-Claude Kamar, producteur dans le show-biz, et tombe amoureuse de lui.

Même lorsqu’on est pas fan absolu de Céline Dion (c’est mon cas !), on ressent à regarder le film, le même plaisir que, visiblement, Valérie Lemercier a eu à le tourner : elle se fait plaisir et elle NOUS fait plaisir !

Le « film-hommage » est un genre qui court deux risques majeurs, la niaiserie ou le cynisme, mais l’amatrice de Céline Dion évite l’écueil du film « niaiseux » comme celui du cynisme.

L’ensemble du casting (intégralement québécois sauf la réalisatrice-comédienne) est superbe.

En dehors de cela, il ne s’y passe rien d’ébouriffant et c’est un film sans surprise, sans scories, mais très intelligent !

C’est peut-être un petit peu long.