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Trauma (1993) de Dario Argento
David, un jeune journaliste, sauve Aura Petrescu du suicide. Mais alors qu’elle s’enfuit du restaurant où il l’a emmenée, elle est rattrapée par deux détectives privés au service de ses parents, de riches Américains d’origine roumaine. La mère d’Aura est voyante. Elle organise des séances de spiritisme.
Ce soir-là, elle sent qu’il y a un assassin en série qui participe à la séance et elle le dit. L’assassin s’enfuit. Elle le poursuit, ainsi que son mari. Ils sont décapités tous les deux. Anna, qui a suivi ses parents, voit l’assassin s’enfuir, mais il cache son visage derrières les deux têtes de ses victimes.
Anna parvient à s’échapper et demande à David de l’aider.
Paranormal, fantastique bon marché, hystérie et armes blanches, nous sommes dans la production courante de Dario Argento. Mais ses histoires de Serial Killer commencent à avoir du plomb dans l’aile. Ce n’est pas seulement le public qui se lasse, c’est visiblement Argento lui-même. A noter la prestation brève, mais explosive de Piper Laurie, spécialisée dans les rôles de mère hystérique et possessive depuis Carrie de Brian de Palma.
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