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De son vivant (2021) d’Emmanuelle Bercot
Benjamin, un jeune professeur d’art dramatique, est atteint par un cancer et il est en phase terminale.
Crystal, sa mère, a décidé de l’accompagner jusqu’à la fin.
Un cancérologue les aide dans ces épreuves douloureuses.
Un critique a dit du film ce qu’on pouvait en dire de plus vache : « Ça requiert une délicatesse qu’[Emmanuelle Bercot] n’a pas ! », alors qu’un autre critique parle d’un « film sentencieux sur la mort ».
On peut considérer avec beaucoup de cynisme, que Benoît Magimel n’aura pas volé son César (qu’il a eu du reste !).
Catherine Deneuve semble s’emmerder autant que nous et se contente de livrer un minimum syndical. Un autre critique l’a même qualifiée de « en retrait ». C’est le moins qu’on puisse dire !
L’alibi de l’oncologue « co-vedette » du film est franchement racoleur.
D’ailleurs, c’est toute cette « agonie filmée à la loupe » qui est racoleuse, obscène et lourdingue.
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