Black Coal

 

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Bai Ri Yan Huo (Black Coal) de Yi’nan Diao (2014)

 En 1999, dans plusieurs mines de charbon de Mandchourie, des ouvriers retrouvent des membres humains disséminés. L’inspecteur Zhang mène l’enquête, mais il est blessé lors d’une interpellation liée à l’affaire.

Cinq ans plus tard, Zhang a dû quitter la police. Il est devenu agent de sécurité et il boit beaucoup.

Après la découverte de nouveaux corps, Zhang décide de reprendre l’enquête pour son compte, ce qui l’amène à se rapprocher de l’épouse de la première victime.

Bon ! Ça, c’est le pitch que l’on trouve partout et qui doit venir, plus ou moins, du dossier de presse.

Ce film est un polar un petit peu compliqué, ce qui signifie qu’il demande une attention soutenue, attention que je n’ai pu lui prêter, car je me suis souvent « absenté ».

Si ce n’est une réalisation soignée et, apparemment, très intelligente, je ne me souviens de rien.

Au niveau du scénario, cependant, on remarque des redondances et des séquences inutiles, comme celle qui donne son titre original au film (« Feux d’artifice en plein jour »).

Autre très mauvais point (mais ça, le producteur et le réalisateur n’y sont pour rien !), le titre « français » Black Coal : il n’est question de charbon qu’au début, et surtout, pourquoi en anglais, une fois de plus !