Logan Lucky (2017) de Steven Soderbergh
Jimmy Logan perd son travail à cause de sa jambe blessée en Irak. Son frère Clyde est barman : il a perdu son bras en Irak, lui aussi.
Jimmy a l’idée d’un casse : faire main basse sur les recettes d’une course automobile qui attire beaucoup de monde.
Comme ils ne sont doués ni l’un, ni l’autre, ils ont besoin d’engager un perceur de coffre et le meilleur est Joe Bang.
Mais Joe Bang est en prison. Clyde doit se faire incarcérer.
C’est la version américaine, et quelque peu languissante, du Pigeon de Mario Monicelli.
Je prétendrais bien que le scénario est plein de trous, mais toutes ces ellipses incongrues sont peut-être tout simplement dues à mes propres absences… narcoleptiques.
L’ai-je trouvé raté parce que j’ai dormi ? Ou ai-je dormi parce que c’était raté ?
Vaste débat que je n’ai pas l’intention de lancer plus avant !
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