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Toto (1933) de Jacques Tourneur
Toto est un petit escroc qui, avec l’aide de son complice Carotte, enlève les petits chiens à mémère pour les rendre contre « récompense ». Poursuivi par la police, il se réfugie chez Ginette qui est contrainte, à son tour, de se réfugier chez lui par sa faute.
Arrêté, Toto se retrouve en prison avec le banquier Bruno qui lui promet une situation, mais l’oublie dés qu’ils sont libérés.
Toto retrouve Ginette.
A classer définitivement dans la catégorie des films « crachouillants » (et je ne parle pas que de la technique) du début du parlant en France. Le seul mérite de ce petit film raté est de nous donner à voir un Albert Préjean supportable dont l’interprétation est, il est vrai, contrebalancée par une Renée Saint-Cyr gauche et exaspérante.
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