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Koshtargah (Marché noir) d’Abbas Amini (2020)
Amir est appelé par son père : le vieil homme, gardien dans un abattoir, a découvert trois cadavres dans la chambre froide.
Amir doit donc débarrasser son père et le patron de celui-ci, Motevalli, de ces trois encombrants « paquets ».
C’est grâce à ça qu’il devient l’homme de confiance de Motevalli.
Globalement, on voit moins l’emprise des Mollahs que dans d’autres films iraniens.
Ce qu’on voit bien, en revanche, c’est la circulation très… intense de l’argent liquide (en dollars !).
Pour le reste, le film est très bien interprété, mais l’action, un peu répétitive et un peu poussive, patine légèrement.
Ça reste cependant un assez bon film.
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