The Witch (2015) de Robert Eggers
Dans la Nouvelle Angleterre de 1630, William est
fermier, mais horrifié par les mœurs « dépravées » de la petite
communauté à laquelle il appartient ainsi que sa femme et leurs cinq enfants,
il décide de partir loin de la civilisation.
La
famille part donc s’établir aux confins de la colonie. La vie est pénible et
Katherine est dure avec Thomasin sa fille aînée qui travaille dur.
Alors
que la jeune fille garde son plus jeune frère, le bébé est enlevé.
Les relations
entre Thomasin et le reste de la famille se détériorent.
Ça
commençait plutôt bien ! On avait un peu l’impression qu’on allait voir
une chronique des colons puritains anglais et on était prêt à accepter de
s’ennuyer un peu, car la vie des culs-bénis, c’est pas drôle tous les
jours !
Et puis, l’enfant disparaît, le lait
des chèvres devient du sang et une créature fantomatique se met à traverser le
film.
Et on se dit que, visiblement, Egger,
pour faire fantastique, a décidé de plonger dans la superstition bondieusarde
et la croyance curetonne.
On va ainsi jusqu’à une scène de sabbat
juste grotesque.
Bref, en dépit d’une critique qui nous
ferait presque croire à un film « intéressant », on est bel et bien
dans un nanar américon de plus.
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