Witness in the Dark

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Witness in the Dark (1959) de Wolf Rilla

Jane Pringle, une jeune aveugle, est la seule personne qui s’occupe de temps en temps de sa vieille voisine Mrs Temple, une veuve qui n’a gardé de son défunt mari qu’une broche d’une certaine valeur, dernier vestige de son bonheur passé.

Un jeune homme bien informé, probablement par les bavardages de Mrs Finch, la concierge, assassine Mrs Temple, mais ne trouve pas la broche. En sortant de chez la vieille dame, il croise Jane qui découvre le corps peu après.

Jane hérite de la broche et c’est elle qui est en danger.

L’aveugle est une bénédiction pour l’auteur de polar : témoin, il est menacé, mais ne peut reconnaître sa menace. A vingt trois pas du mystère d’Henry Hathaway et Seule dans la nuit de Terence Young, étaient des réussites.

On ne peut en dire autant de cette série B poussive tournée dans un style série télé fauchée par le réalisateur même du fameux Village des damnés.