Welcome to the Rileys

 

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Welcome to the Rileys (2009) de Jake Scott

Doug Riley et sa femme Lois forment un couple aisé d’apparence tranquille, mais usé.

Lors d’un déplacement professionnel à la Nouvelle Orléans, Doug fait la connaissance de Mallory, jeune strip-teaseuse et prostituée, qui affiche 22 ans, mais n’en a pas plus de 15.

Il s’attache à cette gamine qui lui rappelle sa fille unique, morte dans un accident de voiture huit ans auparavant. Il avertit Lois qu’il ne rentrera pas tout de suite à Indianapolis.

Lois décide de venir à la Nouvelle Orléans.

L’histoire serait bien sympathique si le film ne patinait tant au démarrage. C’est l’arrivée de Lois qui booste l’histoire, mais à mi-film et c’est un peu tard.

Jake Scott, fils de Ridley, réussit tout de même un joli film où triomphe un superbe trio d’acteurs : James Gandolfini, à la fois pataud et fin, Kristen Stewart, écorchée vive, revêche et paumée, Melissa Leo, blessée, révoltée et tendre.

Tout cela est très convenu, mais la deuxième partie du film rachète bien la première.