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The Night House (La Proie d’une ombre) de David Bruckner (2020)
Beth est veuve depuis peu de temps. Elle habite seule dans une maison isolée que son mari a construite sur le bord du lac.
Elle commence à faire des cauchemars et elle aperçoit une maison de l’autre côté du lac, une maison dont son voisin Mel nie l’existence.
Mais de plus en plus oppressée, Beth décide de faire des recherches.
Dans les années soixante, j’adorais les productions Hammer que je n’aurais pas dû voir puisqu’elles étaient interdites au moins de 16 ans et que j’étais très loin de les avoir.
Depuis, je cherche toujours ce frisson, mais j’ai souvent beaucoup de mal à le retrouver.
Je ne sais pas pourquoi je parle de ça ici, car ce n’est pas dans cette « Maison de nuit » que j’aurais eu la moindre chance d’éprouver le moindre frisson.
En fait, il y a belle lurette que je ne m’étais autant emmerdé dans un « film d’horreur » et une semaine plus tard, je ne me souvenais plus de rien (et c’est heureux !).
Sur un sujet-bateau, La Proie d’une ombre réussit à être le pire des films standards. Il n’y a rien d’original et tout est ennuyeux.
Les critiques du Masque et la plume ont été « scotchés » par ce nanar et ses 2 de tension : ils avaient bu ou quoi ?
Aucun personnage n’a le moindre charisme, mais la moins charismatique, ça reste une tête à claques, Beth, personnage principal interprété par Rebecca Hall sans talent excessif.
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