Peninsula

 

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Bando (반도) (Peninsula) de Yeon Sang-ho

Quatre ans après l’infection du Train pour Busan, la Corée est totalement infectée et n’est plus peuplée que de morts-vivants.

Jung-seok, un ancien soldat, réussit à fuir le pays avec sa sœur, son neveu et son beau-frère. Mais un cas se déclare sur le bateau et la sœur et le neveu de Jung-seok sont infectés.

Plus tard, il est engagé (avec son beau-frère) par un groupe mafieux pour retourner dans son pays, qu’on appelle désormais « la péninsule » pour ramener un camion blindé contenant un fortune.

Peninsula, c’est la suite du Dernier train pour Busan, un excellent film qui se présentait comme un film de zombies, mais était, en fait, un film-catastrophe.

Ici, on passe du film-catastrophe au film post-apocalyptique. Et on passe d’un film de qualité à ce que, personnellement, j’appelle « film tzim-boumboum-tralala » ou, plus prosaïquement, « film popcorn ».

C’est une sorte de copie coréenne du cinéma hollywoodien entre saga Planète des singes (La Planète des singes- Suprématie) et saga Terminator (Terminator : Renaissance).

Bref, c’est un film de qualité médiocre avec beaucoup de castagne et rien n’existe plus ici de ce qui faisait la valeur du Dernier train pour Busan.

 

 

 

 

 

 

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