La Vie est un roman

 

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La Vie est un roman (1983) d’Alain Resnais

Janvier 1914. Michel Forbek veut faire construire une sorte de château invraisemblable, la Cité du Bonheur. Mais la guerre l’empêche de réaliser complètement son projet. Avec le peu qu’il a construit, il fait venir ses amis, en 1919, pour leur donner le moyen de faire renaître la Cité du bonheur une deuxième fois.

En 1984, l’institution Goldberg, situé dans le château même de Forbek, organise un colloque « L’Education de l’imagination » pour réfléchir sur le bonheur des enfants.

Les enfants présents imaginent entre eux un conte avec prince, princesse, méchant tyran et recherche du bonheur.

Quand le film commence, on sent qu’on va aimer. Au bout de vingt minutes, on est passionné, mais on commence à se demander ce que veulent dire ces intrusions musicales pour le moins bizarres.

Au bout d’une demi-heure, on ne supporte plus du tout.

Ça commençait comme du Resnais, comme une histoire fantastique sur la recherche du bonheur avec télescopages d’époque intelligents.

Ça se poursuit comme du Demy, puis comme du Demy ET du Lelouch, en un peu moins imbécile, tout de même.

Un peu moins imbécile, mais difficile à supporter.