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The Andromeda Strain (Le Mystère Andromède) de Robert Wise (1971)
Dans le val Valdenberghe, en Californie, le retour sur terre de Scoop Seven, un satellite, a été un peu brutal. La petite ville mexicaine de Piedmont dans laquelle il s’est posé a été décimée et n’abrite plus que des cadavres.
Les autorités militaires vont chercher quatre médecins, dans le plus grand secret. Ils sont requis pour tirer au clair cette affaire compliquée. Deux d’entre eux vont voir la ville de Piedmont et s’aperçoivent que les habitants sont morts à la suite de la coagulation de leur sang en poudre. Seuls un vieil homme et un bébé de six mois ont survécu.
Les souvenirs que vous laisse un film sont quelquefois traîtres. Le Mystère Andromède m’était resté comme un film passionnant, une sorte de thriller dans la veine du très beau Capricorn One de Peter Hyams.
Or, je n’ai revu ici qu’un film assez bavard, alambiqué et quelque peu incompréhensible pour le nul en science que je suis. Le scénario a été tiré d’un roman de Michael Crichton, futur auteur de Jurassic Park.
La mise en scène du réalisateur de West Side Story est assez rigoureuse, mais le film ne se laisse pas voir sans un certain ennui.
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