Laissez bronzer les cadavres

 

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Laissez bronzer les cadavres (2017) d’Hélène Cattet et Bruno Forzani

Rhino et sa bande prépare un casse, l’attaque d’un fourgon blindé contenant 250 kg d’or. La bande s’est réfugiée chez une artiste plasticienne misanthrope au milieu d’un village abandonné.

Chez cette artiste, il y a aussi un écrivain, deux femmes et un enfant, amenés par la bande juste après le braquage. L’une de ces femmes est la femme de l’écrivain, l’enfant est le fils de cette femme et l’autre femme est la nounou de l’enfant.

Lorsque les deux flics (un homme et une femme) débarquent, la fusillade commence.

Certaines fois, on sait dés les premières secondes qu’on va détester un film et quelquefois, on sait même qu’on ne restera pas jusqu’au bout.

Je suis quand même resté 1 heure (les deux tiers) pour voir cette bouse prétentieuse et ringarde, tendance avant-garde des années 70 (donc arrière garde en 2017…) réalisé par un couple de cons surrencartés qui se prennent pour Sergio Leone à coups de très gros plans sur des grains de peaux et sur des gouttes de sueur. Mais on est très loin de Il était une fois dans l’ouest !!!

« Le mérite d’avancer vers l’abstraction sans jamais perdre de vue ces crapules aberrantes, sans étouffer leur charisme, ni leur verve… », « débordant d’humour et de générosité », j’en passe et des plus gratinés ! …

Au club des cons, il n’y a pas que des cinéastes, il y a des critiques aussi !