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Tokyo Boshoku (Crépuscule à Tokyo) de Yasujiro Ozu (1957)
Un banquier vit avec ses deux filles Takako et Akiko. Takako vient de quitter son mari et s’est installée chez son père avec sa petite fille.
Un soir, dans un club de Mah-Jongh, la patronne du club pose à Akiko des questions sur sa famille qu’elle semble avoir bien connue. Cette femme est, en réalité, Kikuho, la mère de Takako et Akiko.
Akiko cherche partout son petit ami, Ken, dont elle est enceinte, mais le jeune homme ne croit pas que l’enfant est de lui et Akiko se fait avorter.
Le mélodrame, c’est plutôt le style Mizoguchi qui savait les sublimer.
Ozu a d’autres qualités, mais certainement pas celle de sublimer les mélodrames.
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