samedi 8 octobre 2022

La Loi de la jungle

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La Loi de la jungle (2015) d’Antonin Peretjako

Marc Châtaigne est stagiaire… depuis longtemps.

Le dernier stage qu’il a trouvé, c’est au ministère de la norme qui doit veiller au strict respect des normes européennes, dans la construction du projet « Guyaneige », une piste de ski au cœur de l’Amazonie qui doit relancer le tourisme en Guyane.

Châtaigne part donc pour la Guyane doté de son instrument de travail, le « code de la norme ».

« Je ne vais jamais au cinéma, j’écoute "Le Masque et la plume", c’est suffisant ! »

Dans l’émission en question, Jérôme Garcin se demandait s’il devait prendre ça bien ou mal. En fait, je ne le sais pas non plus, bien que le fait que ce soit dit par l’huissier qui est l’un des personnages les plus stupides du film (mais ils le sont tous !), devrait nous mettre sur la voie, mais tout ça n’est pas très clair.

En tous cas, si ça se veut « critique » vis-à-vis des critiques, ça veut dire que ce monsieur Peretjako manque autant de reconnaissance que de talent. En effet, on est assez découragé par une mise en scène consternante au service d’un scénario inexistant dans un film totalement stupide, d’une bêtise insondable et d’une cuistrerie cinématographique vomitive.

Car ce monsieur possède cette chose qui, comme chacun sait, n’existe pas et que les mauvaises langues cinématographiquement paranoïaques (dont je suis !) appellent… la carte !

Et la carte, il l’a : lisez les critiques, c’est navrant ! Comment cette lamentable petite chose à l’humour débile aux limites du pipi-caca peut-elle attirer de tels dithyrambes !?

C’est le film le plus profondément imbécile que j’ai vu depuis des années. Alors qu’ajouter ? Ça patine, ça cabotine, ça braille, ça patauge, ça se répète, ça ne dit rien et c’est bête ! Mais bête !!!

En plus, ce sinistre crétin (je parle du réalisateur) essaie de citer L’Homme de Rio de de Broca, différents Godard et jusqu’à Fellini avec ce début de film censé nous évoquer La Dolce vita.

Eh oui ! Une fois de plus, on pense à Audiard et on se dit que, c’est vrai, ces « gens-là », « ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît ! »

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