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A Night at the Opera (Une
nuit à l’opéra) de Sam Wood (1935)
Le
ténor Laspari est engagé par le directeur du Metropolitan Opera de New York,
grâce à un chèque généreux que madame Claypool, veuve fortunée, a donné à ce
dernier selon les directives de son « conseiller en communication »
Otis Driftwood. Laspari fait engager Laura et, accompagnés de Driftwood et de
madame Claypool, ils prennent le bateau pour New York.
Mais
Baroni, un jeune ténor amoureux et aimé de Laura, et ses deux complices Tomaso
et Fiorello sont dans le même bateau, comme passagers clandestins.
La
minuscule cabine du bateau et sa vingtaine de personnes, l’appartement
entièrement déménagé d’une pièce à l’autre et surtout le sabotage d’une
représentation du Trouvère sont
autant de morceaux d’anthologie du film le plus connu, à juste titre, des Marx
Brothers.
Même si
la logorrhée habituelle des Marx (Harpo excepté !) peut quelquefois lasser
et si les roucoulades, chantées ou non, du jeune couple d’amoureux peuvent
affadir le tout, on ne se lasse pas de ce feu d’artifice de gags dans
l’enceinte compassée d’une salle d’opéra.
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