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Zama (2017) de Lucrecia Martel
Dans une petite colonie espagnole du littoral
atlantique à la fin du 18ème siècle, Diego de Zama s’ennuie et
attend la réponse du vice-roi du Rio de la Plata à sa demande de mutation à
Buenos Aires.
Mais
on lui apprend que cette réponse peut prendre des années.
Alors pour
s’occuper, Diego de Zama se met en tête de capturer un bandit devenu mythique,
Vicuña Porto.
« Une fresque enchanteresse », « Apocalypse
Now », « mise en scène
magistrale et constamment surprenante », « un destin fort où se mêlent la quête existentielle et le défi de
l’aventure », « un grand
film » …
Madame Martel aurait-elle la
carte ?
Pour moi, nous sommes face à un film
chichiteux et très ennuyeux (il y a du français dans la co-prod, bien
sûr !) sur un personnage inintéressant au possible.
De plus, tout cela est très languissant
jusqu’à une dernière demi-heure qui semble ne se précipiter que parce qu’il
fallait bien faire une fin.
Et il n’a pas fallu moins de 11 pays
pour nous « offrir ÇA » ! Ça fait quand même pas mal de trous du cul
pour une seule bouse… et beaucoup de porte-cotons (voir plus haut) pour
nettoyer tout ça !
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