samedi 2 mai 2020

Zardoz


Zardoz - Film (1974) - SensCritique
Zardoz (1973) de John Boorman

En 2293, l’humanité est partagée entre les brutes et les exterminateurs. Les brutes sont systématiquement éliminées par les exterminateurs selon la loi imposée par leur dieu Zardoz qui leur apparaît une fois par saison sous la forme d’une gigantesque tête sculptée pour leur faire un discours et distribuer des armes aux exterminateurs.

L’un d’eux, Zed, réussit à se faufiler dans la tête de Zardoz et se retrouver dans un Vortex où vivent les immortels qui, en fait, dirige l’humanité par le truchement du soi-disant dieu Zardoz. Zed est gardé par les immortels qui sont divisés sur son sort : certains veulent le garder en « observation », d’autres exigent sa destruction en raison du danger qu’il représente pour le monde aseptisé et froid des immortels.
C’est pourtant vrai que malgré sa plastique impeccable, le grand Sean Connery est un peu ridicule en couches-culottes, fussent-elles écarlates.
John Boorman, cinéaste souvent surestimé, signe là une fable « post-baba » bien lourde à laquelle ne manque aucun poncif.

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